Wofür steht ACTA?
Das Anti-Counterfeiting-Trade-Agreement (ACTA) ist ein internationales Abkommen zur Bekämpfung von Urheberrechtsverletzungen und Produkpiraterie. Beteiligt sind unter anderem die USA, di eEU-Staaten und Japan. Die ACTA-Verhandlungen fanden größtenteils unter Ausschluss der Öffentlichkeit statt. Auch über die Ergebnisse wurde kaum informiert. Der EU-Ministerrat stimmte dem Abkommen im Dezember 2011 zu, das EU-Parlament jedoch noch nicht. Kritiker des Abkommens befürchten, dass Maßnahmen zum Schutz von Urheberrechten im Internet zu einer Einschränkung der Meinungsfreiheit und einer dauerhaften Überwachung von Internet-Inhalten führen könnten. In vielen Ländern gibt es deshalb Proteste gegen ACTA.
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I probably would too, but Intel would prefer you don't. It's going sealed liquid in its LGA 2011 configurations to reduce weight on the board. It even designed BTX with CPU cooler support built in (for the same reason), though builders rejected BTX. Heck, even AMD has pushed small liquid on reviewers in its AM3+ test kit, just take a look at the lead photo!Conspiracy theories aside, the air cooler was picked because it was 120mm and had a similar sized radiator. After all, it IS one of the top coolers its size.
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"I'm sure if you have a black tin [of mints] you're saying something quite different than if you have [a tin of] Dilbert mints in your hand," says Eia Radosavljevic, an instructor in the fashion department at the School of the Art Institute of Chicago. "I remember a few years ago, when somebody would say, Would you like an Altoid?' and the responses would be, What's that?' Now everybody knows [them]. So now we need to distinguish it one step further, to have it be even more of a status thing."
Par la suite, de nouvelles connaissances ont favoris? la production de programmes de r?adaptation int?grant le milieu de travail et s'appliquant de fa?on plus pr?coce (Frank et al., 1998; Nachemson, 1999). Dans une revue de l'ensemble des programmes de r?adaptation utilisant des t?ches all?g?es de travail, comportant toutes les client?les avec atteintes physiques confondues, Krause (199 a montr? que ces interventions avaient un effet positif sur le retour au travail, divisant souvent par deux le nombre de jours d'absence du travail. En effet, les r?sultats de trois ?tudes randomis?es, jug?es de qualit? scientifique sup?rieure s'adressant plus sp?cifiquement ? une client?le pr?sentant des dorso lombalgies, convergent quant ? leur taux de succ?s. Plus sp?cifiquement, Loisel et collaborateurs (1997) ont d?montr?, dans un essai clinique randomis? r?alis? dans la r?gion de Sherbrooke, que la combinaison d'une intervention clinique et d'une intervention en milieu de travail permettait de r?duire de fa?on importante l'incapacit? au travail par rapport ? la prise en charge conventionnelle, en acc?l?rant significativement (x 2,4) le retour au travail au poste r?gulier et en am?liorant la qualit? de vie des patients. Le co?t avantage et le co?t efficacit? de ce programme se sont r?v?l?s importants, puisqu'une moyenne de 3 291$ par travailleur investis dans les interventions a permis d'?conomiser une moyenne de 18 509$ par travailleur et d'?viter ainsi une moyenne de 293 jours d'absence par travailleur apr?s un suivi de six ans (Loisel et al., soumis). Au Manitoba, l'?quipe de Yassi (1995) a ?galement d?montr? qu'en appliquant une intervention utilisant des "t?ches all?g?es" pr? d?termin?es dans le secteur hospitalier, 100 000 heures d'absence au travail ont ?t? sauv?es dans le groupe intervention en comparaison au groupe t?moin. Et finalement, l'?tude de Lindstrom (1992) a ?galement montr? dans un essai randomis? que l'exposition au groupe exp?rimental a favoris? un retour plus rapide au travail et ?galement moins de jours d'absence du travail attribuable aux probl?mes de dos apr?s deux ans que le groupe contr?le. Or, bien que dans ces trois ?tudes, les r?sultats sugg?rent une plus grande efficacit? de l'int?gration du travail dans les trois programmes que l'approche traditionnelle, la nature de l'exposition au travail variait ainsi que les professionnels impliqu?s. En effet, dans l'?tude de Loisel et collaborateurs (1997), l'exposition au travail r?el pr? l?sionnel ?tait utilis?e comme m?dium, dans l'?tude de Yassi (1995), il s'agissait plut?t de r? entra?nement dans un poste r?serv? et finalement pour la derni?re ?tude, l'exposition au travail se traduisait par un programme d'exercices personnalis? ? la suite d'une visite au poste de travail (Lindstrom et al., 1992). Par cons?quent, bien que les donn?es probantes actuelles sugg?rent l'int?gration du milieu de travail au cur de la r?adaptation, nous ne savons pas pr?cis?ment quelle est la forme la plus optimale que devrait prendre cette composante. Toutefois, il est ?vident que la tendance ?mergente est le d?placement de la prise en charge vers le milieu du travail. Ainsi dans le mod?le du PPH, ces programmes quittent la dimension unique des capacit?s pour utiliser les facteurs environnementaux comme milieu d'entra?nement, ceci se rapprochant plus de l'habitude de vie travail. Par ailleurs, les intervenants impliqu?s dans le processus de r?adaptation au travail variaient d'une ?tude ? l'autre. Dans les ?tudes de Yassi et collaborateurs (1995) et Lindstrom et collaborateurs (1992), il s'agissait principalement de professionnels de sant?: ergoth?rapeute, m?decin g?n?raliste, physioth?rapeute. L'?tude de Loisel et collaborateurs (1997), plus r?cente, a int?gr? au sein de son ?quipe un ergonome qui intervient directement sur le milieu de travail. Cet ajout d'un sp?cialiste du travail t?moigne de la consid?ration plus importante du milieu de travail comme contributif ? l'habitude de vie travail. Cependant, dans ces trois ?tudes il n'est nullement fait mention de l'arrimage avec des acteurs ? l'ext?rieur de l'?quipe de professionnels de sant?.
a montr? que ces interventions avaient un effet positif sur le retour au travail, divisant souvent par deux le nombre de jours d'absence du travail. En effet, les r?sultats de trois ?tudes randomis?es, jug?es de qualit? scientifique sup?rieure s'adressant plus sp?cifiquement ? une client?le pr?sentant des dorso lombalgies, convergent quant ? leur taux de succ?s. Plus sp?cifiquement, Loisel et collaborateurs (1997) ont d?montr?, dans un essai clinique randomis? r?alis? dans la r?gion de Sherbrooke, que la combinaison d'une intervention clinique et d'une intervention en milieu de travail permettait de r?duire de fa?on importante l'incapacit? au travail par rapport ? la prise en charge conventionnelle, en acc?l?rant significativement (x 2,4) le retour au travail au poste r?gulier et en am?liorant la qualit? de vie des patients. Le co?t avantage et le co?t efficacit? de ce programme se sont r?v?l?s importants, puisqu'une moyenne de 3 291$ par travailleur investis dans les interventions a permis d'?conomiser une moyenne de 18 509$ par travailleur et d'?viter ainsi une moyenne de 293 jours d'absence par travailleur apr?s un suivi de six ans (Loisel et al., soumis). Au Manitoba, l'?quipe de Yassi (1995) a ?galement d?montr? qu'en appliquant une intervention utilisant des "t?ches all?g?es" pr? d?termin?es dans le secteur hospitalier, 100 000 heures d'absence au travail ont ?t? sauv?es dans le groupe intervention en comparaison au groupe t?moin. Et finalement, l'?tude de Lindstrom (1992) a ?galement montr? dans un essai randomis? que l'exposition au groupe exp?rimental a favoris? un retour plus rapide au travail et ?galement moins de jours d'absence du travail attribuable aux probl?mes de dos apr?s deux ans que le groupe contr?le. Or, bien que dans ces trois ?tudes, les r?sultats sugg?rent une plus grande efficacit? de l'int?gration du travail dans les trois programmes que l'approche traditionnelle, la nature de l'exposition au travail variait ainsi que les professionnels impliqu?s. En effet, dans l'?tude de Loisel et collaborateurs (1997), l'exposition au travail r?el pr? l?sionnel ?tait utilis?e comme m?dium, dans l'?tude de Yassi (1995), il s'agissait plut?t de r? entra?nement dans un poste r?serv? et finalement pour la derni?re ?tude, l'exposition au travail se traduisait par un programme d'exercices personnalis? ? la suite d'une visite au poste de travail (Lindstrom et al., 1992). Par cons?quent, bien que les donn?es probantes actuelles sugg?rent l'int?gration du milieu de travail au cur de la r?adaptation, nous ne savons pas pr?cis?ment quelle est la forme la plus optimale que devrait prendre cette composante. Toutefois, il est ?vident que la tendance ?mergente est le d?placement de la prise en charge vers le milieu du travail. Ainsi dans le mod?le du PPH, ces programmes quittent la dimension unique des capacit?s pour utiliser les facteurs environnementaux comme milieu d'entra?nement, ceci se rapprochant plus de l'habitude de vie travail. Par ailleurs, les intervenants impliqu?s dans le processus de r?adaptation au travail variaient d'une ?tude ? l'autre. Dans les ?tudes de Yassi et collaborateurs (1995) et Lindstrom et collaborateurs (1992), il s'agissait principalement de professionnels de sant?: ergoth?rapeute, m?decin g?n?raliste, physioth?rapeute. L'?tude de Loisel et collaborateurs (1997), plus r?cente, a int?gr? au sein de son ?quipe un ergonome qui intervient directement sur le milieu de travail. Cet ajout d'un sp?cialiste du travail t?moigne de la consid?ration plus importante du milieu de travail comme contributif ? l'habitude de vie travail. Cependant, dans ces trois ?tudes il n'est nullement fait mention de l'arrimage avec des acteurs ? l'ext?rieur de l'?quipe de professionnels de sant?.
